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Blog de fond de vallée

Blog de fond de vallée
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10 septembre 2007

A Michel, Jack, Bernard et Eric

En 1981 je me baladais rue Saint-Denis, là je tombe sur une pute superbe, je lui dis - tu sais comment je m'appelle, mais toi quel est ton nom ? - socialisme. Alors je monte avec elle et dans la chambre je m'aperçois que c'est un immonde travelo, elle me dit alors - prends-moi par le communisme ! Gainsbourg.
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20 juillet 2007

Pas vrai mec ?

13 mai 2007

NOFX Whats the matter with kids today ?

Ma song préférée quand j'avais 16 ans. Préférée parceque moi non plus je ne comprenais pas les gosses de mes voisins !

Traduction en français :

Y'a kekchose qui va pas avec les gamins de mon voisinage, ils écoutent toujours leur mère...Ils ignorent la désobéissance civile, ils ont tendance à faire ce qu'on leur dit... Ils ne boivent pas, ne baisent pas, ne se battent pas... Ils restent à la maison, lisent, enrichissent leurs connaissances !

Ouai, y'a kekchose qui va pas avec les gamins dans mon cul de sac, ils vont toujours à l'église... Ils s'habillent bien et parlent en articulant, se montrent du respect... Ils ne sont jamais en retard, ne fument pas, ne font rien d'illégal... Ils mangent sainement, étudient dur, aiment l'école !!!!

Y'a kekchose qui va pas avec les mômes de mon voisinage !

26 avril 2007

Le Criminel, c'est l'électeur !

C’est toi le criminel, ô Peuple, puisque c’est toi le Souverain. Tu es, il est vrai, le criminel inconscient et naïf. Tu votes et tu ne vois pas que tu es ta propre victime.

Pourtant n’as-tu pas encore assez expérimenté que les députés, qui promettent de te défendre, comme tous les gouvernements du monde présent et passé, sont des menteurs et des impuissants ?

Tu le sais et tu t’en plains ! Tu le sais et tu les nommes ! Les gouvernants quels qu’ils soient, ont travaillé, travaillent et travailleront pour leurs intérêts, pour ceux de leurs castes et de leurs coteries.

Où en a-t-il été et comment pourrait-il en être autrement ? Les gouvernés sont des subalternes et des exploités : en connais-tu qui ne le soient pas ?

Tant que tu n’as pas compris que c’est à toi seul qu’il appartient de produire et de vivre à ta guise, tant que tu supporteras, - par crainte,- et que tu fabriqueras toi-même, - par croyance à l’autorité nécessaire,- des chefs et des directeurs, sache-le bien aussi, tes délégués et tes maîtres vivront de ton labeur et de ta niaiserie. Tu te plains de tout ! Mais n’est-ce pas toi l’auteur des mille plaies qui te dévorent ?

Tu te plains de la police, de l’armée, de la justice, des casernes, des prisons, des administrations, des lois, des ministres, du gouvernement, des financiers, des spéculateurs, des fonctionnaires, des patrons, des prêtres, des proprios, des salaires, des chômages, du parlement, des impôts, des gabelous, des rentiers, de la cherté des vivres, des fermages et des loyers, des longues journées d’atelier et d’usine, de la maigre pitance, des privations sans nombre et de la masse infinie des iniquités sociales.

Tu te plains ; mais tu veux le maintien du système où tu végètes. Tu te révoltes parfois, mais pour recommencer toujours. C’est toi qui produis tout, qui laboures et sèmes, qui forges et tisses, qui pétris et transformes, qui construis et fabriques, qui alimentes et fécondes !

Pourquoi donc ne consommes-tu pas à ta faim ? Pourquoi es-tu le mal vêtu, le mal nourri, le mal abrité ? Oui, pourquoi le sans pain, le sans souliers, le sans demeure ? Pourquoi n’es-tu pas ton maître ? Pourquoi te courbes-tu, obéis-tu, sers-tu ? Pourquoi es-tu l’inférieur, l’humilié, l’offensé, le serviteur, l’esclave ?

Tu élabores tout et tu ne possèdes rien ? Tout est par toi et tu n’es rien.

Je me trompe. Tu es l’électeur, le votard, celui qui accepte ce qui est ; celui qui, par le bulletin de vote, sanctionne toutes ses misères ; celui qui, en votant, consacre toutes ses servitudes.

Tu es le volontaire valet, le domestique aimable, le laquais, le larbin, le chien léchant le fouet, rampant devant la poigne du maître. Tu es le sergot, le geôlier et le mouchard. Tu es le bon soldat, le portier modèle, le locataire bénévole. Tu es l’employé fidèle, le serviteur dévoué, le paysan sobre, l’ouvrier résigné de ton propre esclavage. Tu es toi-même ton bourreau. De quoi te plains-tu ?

Tu es un danger pour nous, hommes libres. Tu es un danger à l’égal des tyrans, des maîtres que tu te donnes, que tu nommes, que tu soutiens, que tu nourris, que tu protèges de tes baïonnettes, que tu défends de ta force de brute, que tu exaltes de ton ignorance, que tu légalises par tes bulletins de vote, - et que tu nous imposes par ton imbécillité.

C’est bien toi le Souverain, que l’on flagorne et que l’on dupe. Les discours t’encensent. Les affiches te raccrochent ; tu aimes les âneries et les courtisaneries : sois satisfait, en attendant d’être fusillé aux colonies, d’être massacré aux frontières, à l’ombre de ton drapeau.

Si des langues intéressées pourlèchent ta fiente royale, ô Souverain ! Si des candidats affamés de commandements et bourrés de platitudes, brossent l’échine et la croupe de ton autocratie de papier ; Si tu te grises de l’encens et des promesses que te déversent ceux qui t’ont toujours trahi, te trompent et te vendront demain : c’est que toi-même tu leur ressembles. C’est que tu ne vaux pas mieux que la horde de tes faméliques adulateurs. C’est que n’ayant pu t’élever à la conscience de ton individualité et de ton indépendance, tu es incapable de t’affranchir par toi-même. Tu ne veux, donc tu ne peux être libre.

Allons, vote bien ! Aies confiance en tes mandataires, crois en tes élus.

Mais cesse de te plaindre. Les jougs que tu subis, c’est toi-même qui te les imposes. Les crimes dont tu souffres, c’est toi qui les commets. C’est toi le maître, c’est toi le criminel, et, ironie, c’est toi l’esclave, c’est toi la victime.

Nous autres, las de l’oppression des maîtres que tu nous donnes, las de supporter leur arrogance, las de supporter ta passivité, nous venons t’appeler à la réflexion, à l’action.

Allons, un bon mouvement : quitte l’habit étroit de la législation, lave ton corps rudement, afin que crèvent les parasites et la vermine qui te dévorent. Alors seulement du pourras vivre pleinement.




LE CRIMINEL, c’est l’Electeur !
Albert Libertad

24 avril 2007

Renaud, il y a 32 ans (à fredonner avec un air guilleret !)

Hexagone, 1975.

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21 avril 2007

Consigne de vote pour le premier tour !

votedemocratel sarko Ce jour sur l'admin de canalblog : Elections du 22 avril en France : pas de divulgation des résultats avant 20h Nous attirons votre attention sur les principes exceptionnels de modération qui seront mis en place la veille et le jour des scrutins sur CanalBlog conformément à la loi n°2002-214 du 19 février 2002 sur la diffusion des sondages d’opinion concernant les élections présidentielles : CanalBlog se devant de respecter la législation française, les règles suivantes seront appliquées à partir de ce soir minuit et jusqu'à dimanche 20h : La veille du scrutin et le jour du scrutin lui-même, la publication de tout sondage ou résultats de sondages est interdite. Toute publication de résultats avant la fermeture du dernier bureau de vote (20h heure de Paris, 18h GMT) et l’annonce officielle des résultats est interdite. Tout lien hypertexte invitant manifestement à consulter des sondages ou à consulter les résultats avant les résultats officiels est interdit. Tout commentaire concernant ou s'appuyant sur des sondages ou des tendances est interdit. Merci de respecter et de faire respecter ces règles ! SOURIEZ VOUS ETES FLIQUES
23 mars 2007

Binamé donne accès libre a toutes ses chansons.

biname Suivez le lien ci-dessous car la nouvelle secoue sec ! René le belge a mis toutes ses chansons disponibles au format mp3 en téléchargement, ainsi la guerre au tout gratuit n'est pas encore perdue. Plus d'excuses pour ne pas (ré)écouter "La dernière tentation du pape", "La rue des bons enfants" ou l'archi-classique "Révolte"... Tout a été dit 100 fois, et beaucoup mieux que par moi, aussi quand j'écris des vers, c'est que ça m'amuse. C'est que ça m'amuse ! C'EST QUE CA M'AMUSE, ET JE VOUS CHIE AU NEZ ! http://biname.propagande.org
2 mars 2007

Ian Curtis

Walk in silence,iancurtis
Dont walk away, in silence.
See the danger,
Always danger,
Endless talking,
Life rebuilding,
Dont walk away.

18 février 2007

Bientôt 24 ans...

"Kids of the black hole". Mon adolescence avec The Adolescents. Punk 80s insurrectionnel comme je l'aime. Ici en concert y'a pas bien longtemps je ne sais plus où en Californie.

17 janvier 2007

Jour de grisaille.

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